Depuis 6 mois une répression inédite s’abat sur le mouvement des Gilets Jaunes. A travers les témoignages de blessés, spécialistes et militants...
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La vidéo traite de la gestion des violences urbaines par les forces de police, en particulier les brigades anticriminalité (BAC). Ces unités sont décrites comme étant très mobiles et intervenant en temps réel lors de troubles urbains pour procéder à des interpellations. Cependant, leur formation n'est pas axée sur le maintien de l'ordre, ce qui pose des défis lors de manifestations. La vidéo souligne l'usage de techniques d'immobilisation controversées, comme dans le cas d'Adama Traoré, qui a subi une compression thoracique mortelle. D'autres exemples incluent Hakim Ajimi, dont le visage était déformé par la violence policière. Les BAC sont critiquées pour leur manque de préparation face à l'agressivité des manifestants et pour leur recours à des méthodes violentes, souvent dans les quartiers populaires. La vidéo mentionne également l'héritage colonial des pratiques policières, notamment l'influence de Pierre Bolotte, préfet de Seine-Saint-Denis, qui a appliqué des méthodes apprises pendant la guerre d'Algérie. En conclusion, la vidéo met en lumière les problèmes systémiques liés à l'intervention des forces de l'ordre dans les quartiers populaires et les manifestations, ainsi que l'historique...