- 188 organisations de défense des droits humains à travers le monde
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Ru/regiony/evropa-i-central-naya-aziya/rossiya/rossiya-na-fone-volny-antisemitskih-besporyadkov-na-severnom-kavkaze
После волны антисемитских беспорядков, прокатившейся по Северному Кавказу, Международная федерация за права человека (FIDH) и ее членские (...)
En/region/europe-central-asia/turkey/turkey-release-politicians-wrongfully-detained-for-7-years
Former deputies and mayors face prosecution and prolonged incarceration for political speech. The Turkish government should abide by (...)
Fr/com/faire-un-don/
Rejoignez-nous dans la lutte pour un monde juste et équitable
Votre don nous aidera à dénoncer les violations des droits humains, à faire (...)
Fr/regions/maghreb-moyen-orient/israel-palestine/augmentation-alarmante-des-violations-des-droits-humains
A Gaza, un cessez-le-feu est plus urgent que jamais pour arrêter les crimes contre les civil⋅es et permettre l'acheminement de l'aide (...)
En/region/north-africa-middle-east/israel-palestine/alarming-increase-of-human-rights-violations-against-palestinians-in
While still calling for an immediate ceasefire to end the targeting of civilians and allow for humanitarian aid into Gaza, the International (...)
Fr/themes/peine-de-mort/
Retrouvez nos dossiers thématiques à l'occasion de la Journée mondiale contre la peine de mort, le 10 octobre.
– 2021 : les femmes et la peine de mort, une réalité invisible.
– 2020 : l'importance de la représentation juridique.
– 2019 : les enfants, victimes invisibles de le peine de mort.
– 2018 : les conditions de vie dans les couloirs de la mort.
– 2017 : la peine de mort, un châtiment pour les pauvres ?.
La Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) s’oppose à la peine de mort pour tous les crimes et en toutes circonstances et œuvre activement avec ses organisations membres pour son abolition universelle. La peine de mort constitue un traitement inhumain, voire une forme de torture. La FIDH, au fil de ses missions d’enquête, a en outre mis en lumière le fait que la peine de mort est généralement prononcée au terme de procès inéquitables et que son application est souvent discriminatoire. Enfin, la FIDH rappelle que le prétendu effet préventif de la peine de mort n’a jamais été prouvé. La dernière résolution de l’Assemblée générale des Nations unies, appelant à un moratoire universel sur l’utilisation de la peine de mort, adoptée par 123 États en décembre 2020, confirme la dynamique internationale croissante en faveur de l’abolition.
Aujourd’hui, plus des deux tiers des pays du monde ont aboli la peine de mort en droit ou en pratique. En conséquence, la FIDH appelle à :
– l ’abolition de la peine de mort pour tous les crimes ;
– l’établissement d’un moratoire sur les exécutions ;
– la ratification universelle des traités prévoyant l’abolition, y compris le deuxième protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
La FIDH est membre fondateur de la Coalition mondiale contre la peine de mort et membre du comité de pilotage de la Coalition.
Fr/qui-sommes-nous/la-federation-internationale-pour-les-droits-humains/
La FIDH (Fédération internationale pour les droits humains) est une ONG internationale de défense des droits humains. Elle regroupe 188 organisations nationales de défense des droits humains dans 116 pays. Depuis 1922, la FIDH est engagée dans la défense de tous les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels tels que définis dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Nos organisations membres
Fr/themes/entreprises-droits-humains-et-environnement/
Les inégalités ne cessent de s’accroître dans le monde. Des millions de gens continuent à être victimes d’expulsions forcées, d’un accès insuffisant à l’enseignement et à des soins de santé, et à travailler dans des conditions effroyables. Les acteurs et actrices économiques, en particulier les sociétés transnationales, ont acquis un pouvoir croissant au court des dernières décennies.
La libéralisation des flux commerciaux et d’investissement, les protections accordées aux investisseur·es étranger·es, l’interdépendance grandissante entre les économies mondiales, mais aussi la dette extérieure et les politiques des institutions financières internationales, ont restreint la capacité des États à respecter leurs obligations en matière de droits humains. Les défenseur·es des droits humains et celles et ceux qui se mobilisent pour dénoncer les abus commis par les entreprises sont de plus en plus souvent cibles d’attaques. Les communautés peinent à obtenir réparation pour des violations de leurs droits économiques, sociaux et culturels, en particulier lorsque des entreprises multinationales opérant au-delà des frontières nationales sont impliquées.
La FIDH plaide pour la pleine reconnaissance et la justiciabilité des droits économiques, sociaux et culturels, et fait campagne pour la ratification du Protocole facultatif au Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Avec ses organisations membres, la FIDH travaille auprès de communautés dans le monde entier pour une plus grande responsabilité des entreprises et pour améliorer l’accès des victimes à la justice notamment à travers la documentation, le plaidoyer et le contentieux. La FIDH appelle les États à tenir compte de leurs obligations en matière de droits humains lorsqu’ils négocient des accords de commerce et d’investissements avec des pays tiers, et plaide pour le respect des les droits humains et l’environnement dans l’investissement.
Il existe plusieurs lacunes en droit international des droits humains qui limitent la capacité de de prévenir ; punir et remédier aux atteintes aux droits humains résultant des activités des entreprises. L’accès à la justice reste particulièrement difficile pour la majorité des victimes. C’est pourquoi la FIDH est engagée dans le processus des Nations unies pour l’élaboration d’un instrument légalement contraignant pour réguler les activités des entreprises vis-à-vis des droits humains (voir Traité)
Fr/themes/defenseurs-des-droits-humains/
En raison de leur engagement en faveur des droits humains et des libertés fondamentales, les défenseur·es des droits humains sont la cible d’actes de répression de la part d'États ou de groupes privés ou para-étatiques : lois et pratiques restrictives en matière de libertés d’association, d’expression, de réunion et de rassemblement pacifique, campagnes de diffamation, mauvais traitements, menaces de mort, arrestations et détentions arbitraires, disparitions forcées, tortures, assassinats.
La FIDH fut pionnière dans la protection des défenseur·es des droits humains en créant, en 1997, un programme unique dédié à cette question : l'Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains, en partenariat avec l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT). Au travers de l'Observatoire, la FIDH agit en faveur de toute personne qui, de par son action en faveur des droits humains, est exposée à des représailles, quel que soit sa qualité, son titre ou sa fonction. Travailleur·ses et militant·es associatif·ves, avocat·es, journalistes, syndicalistes, leaders ruraux·ales et communautaires, simples citoyen·nes, l'objectif de la FIDH est de garantir que leurs voix soient entendues et leur isolation et leur marginalisation brisées.
Plusieurs modes d'action ont été développés au sein de l'Observatoire pour répondre aux besoins et particularités de chaque situation : publication et diffusion d'alertes urgentes en six langues, assistance matérielle d'urgence (soutien médical, psychologique ou juridique ; aide à la relocalisation), soutien au renforcement de capacités, visites en prison, observations judiciaires et défense, missions de plaidoyer national et international, missions d’enquête, campagnes de mobilisation sur les réseaux sociaux, plaidoyer d'urgence auprès des acteur·ices du changement, activation des recours judiciaires ou quasi-judiciaires, analyse des tendances de répression (rapport annuel), renforcement du système intergouvernemental de protection des défenseur·es (processus intermécanismes, plaidoyer), etc.
Description automatique fournie par ChatGPT (peut contenir de possibles erreurs) : "Le site web de la Fédération Internationale pour les Droits Humains (FIDH) est une plateforme dédiée à la promotion et à la protection des droits humains à l'échelle mondiale. Fondée en 1922, la FIDH regroupe 192 organisations membres présentes dans plus de 117 pays, unies par l'objectif commun de défendre les droits humains universels et indivisibles. Le site offre un accès à une richesse de ressources, incluant des rapports, des communiqués de presse, et des analyses approfondies sur des thèmes variés tels que la justice internationale, les droits des femmes, la liberté d'expression et les droits des migrants.
Les visiteurs peuvent explorer les activités de la FIDH, qui incluent des missions internationales d'enquête, des interventions juridiques, et des campagnes de sensibilisation. La section "Actualités" informe sur les dernières initiatives entreprises par la FIDH et ses partenaires pour répondre aux violations des droits humains. Par ailleurs, la rubrique "Nos Thèmes" permet de naviguer à travers des dossiers thématiques, détaillant les enjeux et les actions spécifiques.
L’interface du site est conviviale et disponible en plusieurs langues, facilitant ainsi l'accès pour un public international. De plus, les utilisateurs ont la possibilité de s'engager en soutenant financièrement la FIDH ou en s'abonnant à leurs newsletters pour rester informés. En somme, le site de la FIDH est une ressource incontournable pour ceux qui souhaitent s'informer et agir pour la défense et la promotion des droits humains à travers le monde."
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